te deseo lo mejor

Au début, tout semble calme - presque diplomatique : « rien de personnel ». Mais entre les lignes, on entend encore un reste de chaleur étrangère trembler légèrement sous les ongles. Ici, on ne brise pas le cœur dans l'agonie - on expire simplement, en rangeant humblement le passé dans une boîte soignée. Seulement, le couvercle ne se ferme pas. Dans ma tête défile une rue familière, dans mon téléphone l'habitude de chercher, bien qu'il n'y ait plus personne à chercher. Ça sonne comme un adieu sans colère - juste un poli "je vous souhaite du bonheur" et un léger goût d'inachevé. Ce moment où l'on lâche prise non pas parce qu'on n'aime plus, mais parce qu'on ne supporte plus de se souvenir.