Çaban Boşa

Parfois, l'amour, c'est comme se battre avec une ombre : il semble proche, mais le coup est toujours dans le vide. Tout était presque parfait : les mains entrelacées, les rires à l'unisson, l'air avec une pointe de bonheur. Et puis c'était comme si quelqu'un avait éteint la lumière. Et il ne reste plus qu'à murmurer «Uґraşma» - ne gaspillez pas votre énergie, ne vous plongez pas dans quelque chose qui ne peut pas être relancé.

C'est une histoire sur la beauté de l'effondrement de quelque chose auquel on croyait jusqu'au dernier. À propos d'un lit vide, de projets inachevés et d'une douleur qui ne demande pas d'attention - elle vit simplement à l'intérieur, comme un arrière-plan. Tout a déjà été dit, tous les « si » ont grillé. Il ne reste plus qu’à accepter que parfois les efforts sont vraiment vains, et c’est là que réside l’étrange liberté des adultes.