Description
Un hymne retentissant sur la joie de vivre quand on s'approprie l'idée de quelqu'un d'autre et la fait passer pour la sienne. Tout ici est basé sur l'ironie: le peuple est enthousiaste, chante en chœur, mais derrière cette façade de succès éclatant se cache un voleur rusé qui a simplement « emprunté » tout ce qui brillait.
Chaque ligne est délibérément théâtrale: tantôt un palais avec un cheval blanc, tantôt un poème pour une promenade romantique, et partout la même confession avec un sourire en coin: « Ce n'est pas à moi, mais vous aimez, n'est-ce pas? ». Au final, l'auditeur ne condamne plus, mais joue le jeu, car la supercherie est présentée de manière si contagieuse qu'il devient lui-même partie intégrante du spectacle.
Dans cette chanson, la parodie et l'honnêteté s'entremêlent pour former un spectacle unique. Elle ne cache pas son tour de passe-passe, mais au contraire, en fait le point central. Et c'est peut-être pour cette raison que ce tube « volé » semble beaucoup plus vivant que beaucoup d'autres vrais tubes.
Paroles et traduction
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