Description
Mentorat nocturne avec fracas: une voix qui arrache les pages d'un cahier et les jette directement dans la salle. On y trouve des souvenirs des « back streets » et une obstination à faire grincer des dents, comme si les vies passées refaisaient surface entre les lignes, et à la fin, tout se résume à un simple refrain « I am who I am » - sans excuses ni compromis.
Ce n'est pas une chanson, mais des mémoires rap empreintes d'une chaleur piquante: la vantardise côtoie la vulnérabilité, la plaisanterie côtoie la menace, et le « ne pas reculer » constant comme une mantra. Les images - le nord, les passages, les projets, les bouteilles vides et les balles creuses - brossent un tableau à la fois irritant et réconfortant.
À écouter quand on a besoin de se défouler, de ressentir une honnêteté sans fard et de faire un peu le voyou dans l'oreille de l'univers. Comme une entrée de journal intime lue à voix haute à plein volume.
Paroles et traduction
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